Je me prépare. Face au miroir, j'enfile de
la lingerie noire, légèrement transparente. Je mets mes porte-jarretelles et mes bas. Je dois avouer que je me trouve plutôt sexy. Je sens ma peau douce sous mes doigts. Je commence à les
sentir parcourir mon corps, ce qui me fait frissonner. Ces quelques caresses m'ont donnéenvie de bien plus. J'ai senti mes seins se durcir sous la pression, mon corps se tendre, je me sens
légèrement humide, et j'aime beaucoup ça. Mais je fais le choix de m'arrêter. Je sais que tu vas arriver, et je veux me sentir surexcitée en ta présence, en manque.
J'enfile une robe noire, décolletée, et fendue sur le côté. Je chausse des talons aiguilles, puis me maquille. J'insiste sur mes yeux, d'un noir ardent, pour que tu sentes l'intensité de mon
désir. Je poudre à peine mes pommettes, et me mets du rouge à lèvres rouge. Je lisse mes cheveux et les attache un peu en arrière, laissant des mèches retomber sur mes épaules. Je me regarde et
souris. C'est ce que je voulais. Je me trouve sexy et provocante.
Je me rends alors dans le salon afin de t'attendre. Je regarde par la fenêtre, et entend enfin la porte s'ouvrir. Je ne me retourne pas, et te laisse venir à moi. Je te sens te glisser derrière
moi, déposer tes mains sur mes hanches. Tu me chuchotes à l'oreille que tu ne veux pas entendre le moindre mot, que seuls des gémissements peuvent se faire entendre à partir de
maintenant. J’acquiesce d'un signe de tête, sentant que la suite va me plaire. ça m'excite encore plus. Tu t'éloignes, je me retourne et te regarde. Je plonge mon regard dans le tien,
puis vois que tu tiens un bandeau à la main. Tout cela devient très intéressant. Tu me bandes les yeux, et commences à me caresser. Je sens tout d'abord te mains sur mes épaules, elles descendent
le long de mes bras. Puis, elles arrivent sur mes cuisses et tu relèves ma jupe, je te sens reculer légèrement afin de mieux m'observer. Je trouve cela très agréable de se sentir regardée sans
voir. Puis soudain, tu m'invites à m'agenouiller. Je m’exécute. Je sens alors ton sexe dur se promener sur mon visage, sur mes lèvres. Je n'ai plus qu'une envie, le sentir en moi. J'ouvre la
bouche et le savoure avec plaisir. Je le lèche, le mordille, en allant plus ou moins vite, plus ou moins fort.
J'ai cette sensation que tu es à ma merci à ce moment, que je peux te donner tant de plaisir, et cela décuple le mien. Tandis que je continues à le manger, mes mains parcourent mon
corps. Elles caressent mes seins, puis descendent sur mon ventre, et enfin se dirigent lentement vers mon sexe. Je me sens humide, je glisse un de mes doigts en moi et gémis.
A ce moment, tu me relèves et me prends par la main. Je te suis docilement. Tu m'emmènes sur le lit, puis m'attache les mains. Je suis allongée, tu t'installes sur moi et tu me mets ton sexe dans
la bouche. Cette fois c'est toi qui mène la danse et qui choisit le rythme. Je gémis de plus en plus fort. Tu me tournes alors, et commences à me mettre la fessée. Cela me fait un effet que je ne
pourrai définir, mais une chose est sûre, je n'ai pas envie que ça s'arrête. Tu m'attrapes par le cou et me prends alors par derrière. Tu m'entends crier, mais ce n'est que du plaisir; et quel
plaisir! J'ai l'impression d'avoir des fourmis qui me parcourent le corps. Je me sens comme déconnectée de tout ce qu'il peut y avoir autour. Puis, tu te retires, et me demande de venir
sur toi. J'ai un peu de mal, étant attachée et n'y voyant pas, mais j'adore le fait de chercher ton corps de mes mains pour m'installer. Je sens ton sexe entrer en moi, et c'est encore une fois
une sensation énorme. Je ne retiens pas mes cris, c'est juste trop bon.
Alors que j'accélère le rythme, tu me demandes d'arrêter. Tu me demandes de me mettre de nouveau à genoux, ce que je fais. Et je le sens entrer entièrement dans ma bouche. Il a mon goût, ce qui
n'est pas pour me déplaire. Je l'aspire passionnément, ne veux pas le sentir s'en aller. Soudain tu recules, et je sens un jet chaud m'inonder le visage. Je me lèche les babines, et aime sentir
ce doux breuvage descendre le long de ma gorge...
Je crois que je ne verrai jamais ma photo