Les récits de Katagena

Je suis là, installée confortablement sur le canapé. Je porte cette petite jupe courte que tu aimes tant. Elle est plissée, et l'on voit mon porte-jaretelles lorsque je croise les jambes. Je porte des talons hauts, très fins, et ce chemisier deboutonné qui laisse entrevoir la dentelle de ma lingerie.

Soudain, j'entends la porte s'ouvrir. Tu entres. Dès ce moment, je sais que je t'appartiens entièrement, que je suis dévouée à satisfaire le moindre de tes désirs. Je me lève pour venir te voir. Tu me plaques contre le mur, m'embrasses et me caresse. une de tes mains malaxe mes seins, les sentant se durcir. L'autre appuye fortement le long de mes cuisses, et remonte sous ma jupe.

Tu m'emmènes dans la chambre, me pousse sur le lit. Et je te regarde te déshabiller. Je n'ai pas le droit de parler, je le sais, je ne peux que gémir sous tes caresses.

D'ailleurs, tu ne parles pas non plus, tu n'en as pas besoin. Tu attrapes mes mains, tu en poses une sur mes eins, et l'autre en mes jambes. Tu veux me voir me donner du plaisir. mes doigts bougent doucement d'abord, presque timidement. Je brûles d'envie que tu me caresses, je veux sentir ta langue sur ma peau. Je te veux partout, dans ma bouche, en moi...

Tu te lèves et attrape deux paires de menottes. Tu m'attaches au lit. Tu promènes alors ton sexe sur mon corps, je le sens frôler mes lèvres, sans me laisser le temps de m'en saisir. Tu sens le désir monter en moi, ce besoin irréprescible de t'avoir en moi, et je sais que tu aimes ça. Tu le laisses ensuite descendre le long de mon cou, se promener sur mes seins, puis descendre sur mon ventre. J'aime le voir dans cet état, juste par ma présence, la sensation de ma peau...

J'aimerai que tu entres brutalement en moi. Mais tu le sais et tu comptes bien me faire languir encore un moment...

Soudain, tu remontes et je l'ai enfin en bouche. Pour ton plus grand plaisir, j'ai agrémenté ma langue d'un nouveau piercing qui fait semble-t-il son effet. Je le lèche, le mordille, et gémis. Tu me laisses en profiter un moment puis tu me libères une main afin de me faire tourner. Je suis allongée sur le ventre à présent. Tu me mords le coup, puis me prends par derrière. Cette sensation est tellement intense, mes gémissements se transforment en râles. Devant me tenir silencieuse, j'essaye d'étouffer au mieux ces cris qui veulent exprimer tout le plaisir que je ressens... Tu te retires soudain, je ne bouge pas pendant un instant, encore enivrée de cette sensation. Puis je réalise que tu m'as détachée l'autre main.

Tu me demandes de me déshabiller. Je m'éxecute, et frotte mes fesses contre ton entrejambe, avide de te sentir revenir en moi. Une fois nue, tu me rattaches sur le dos. Tu poses ta main sur ma gorge et commence à serrer. Tu me pénètres alors brutalement, les va-et-vient sont rapides. Au moment de jouir, tu te retires et asperge mon ventre et mes seins de cette douce chaleur. Tu sais que j'adore ça... Cette sensation m'amène même à avoir un nouvel orgasme, que je ne peux retenir. Je laisse échapper un cri.

Tu me tournes alors brusquement et me mets la fessée. Il est vrai que je n'ai aps été très sage. Tu attrapes un de ces jouets avec lesquels on s'amuse tellement, et me pénètre avec. Tu reprends le rythme que tu avais. La tête me tourne tellement maintenant, je sens que mon corps ne m'obéis plus. De la main que tu as de libre, tu me malaxes les fesses, et me mets une fessée de temps en temps.

Alors que je pensais ne plus jouir, je sens un nouvel orgasme monter en moi. Mon corps se raidit entièrement à son arrivée tant la sensation est forte.

Tu me détaches alors, et je ferme les yeux pour garder enore un moment cette sensation.